"Allons mes frères, partons en quête d'un nouveau monde. J'ai pris pour but l'horizon de la mer du couchant. Et quoique dépossédé de l'ardeur de nos forces d'antan qui bousculait le ciel et la terre, nous sommes ce que nous sommes. Oui ! L'âme trempée et le cœur héroïque. Bien affaiblis hélas par les ans, mais fort de la volonté de combattre, chercher, trouver ... et ne rien céder." Alfred Tennyson.



24 mai 2016

Street art :

 




Oakoak, proverbe mexicain.


22 mars 2016

23 janvier 2016

4 - Le système lymphatique :




Il est indispensable pour notre système cardiovasculaire car sans lui il perdrait tout efficacité. Les vaisseaux lymphatique rapportent dans la circulation sanguine le surplus de liquide interstitiel résultant de la filtration des capillaires.



Vaisseaux lymphatiques :




Les échanges de nutriments, de déchets de gaz se déroulent entre le liquide interstitiel et les protéines plasmique qui s'échappent de la circulation sanguine, doivent retourner dans le sang pour que le volume sanguin reste normal et maintienne la pression artérielle nécessaire au bon fonctionnement du système cardiovasculaire. Les vaisseaux lymphatiques s'acquittent de cette tâche. Ils constituent un réseau élaboré qui draine le liquide interstitiel et son contenu retourne dans le sang. Lorsque le liquide interstitiel est entré dans  les vaisseaux lymphatiques, il prend le nom de lymphe.

L'étymologie de ce terme vient du latin lympha (eau, fontaine), du grec lumphos ou numphé, par analogie avec les nymphes des sources et fontaines. La lymphe est un liquide biologique incolore ou légèrement jaunâtre circulant dans le  système lymphatique. Sa composition est analogue à celle du plasma sanguin, dont elle n'est qu'un filtrat. Elle baigne les organes ; elle est pauvre en nutriments et riche en déchets. On distingue deux types de lymphes : la lymphe interstitiel (stagnante) et la lymphe canalisée (circulante).



Distribution et structure des vaisseaux lymphatique : 


Dans ceux-ci la lymphe circule à sens unique vers le cœur. Les premières structures de ce réseau sont les capillaires lymphatiques, de microscopiques vaisseaux en cul-de-sac qui s'insinuent entre les cellules et capillaires sanguins des tissus conjonctifs lâche de l'organisme. Très répandus, les capillaires lymphatique sont présent presque partout où se trouve des capillaires sanguins. Mais à la différences des capillaires sanguins ceux-ci sont perméables permettant grâce à la structure de s'ouvrir facilement de façon à la lymphe de pénétrer à l'intérieur.

La lymphe ne peut refluer, grâce aux valvules, et elle est poussée dans les vaisseaux. Lorsque les tissus présentent une inflammation, les capillaires lymphatique se percent d'orifices qui permettent le captage de grosses particules: débris capillaires, agents pathogènes, (bactéries, virus) ainsi que les cellules cancéreuses.


Ensuite cette lymphe fait des "détours" par les nœuds lymphatiques, dans lequel elle est "examinée" et épuré par les cellules de système immunitaire. En général, les vaisseaux lymphatiques superficiels sont parallèles aux veines superficielles du système cardiovasculaire, tandis que les vaisseaux lymphatiques profonds du tronc et des viscères digestives suivent les artères profondes. Les troncs lymphatiques sont formés par l'union des plus gros vaisseaux collecteurs et ils drainent des régions étendues de l'organisme.



Transport de la lymphe :


Ce système fonctionne sans pompe et la pression y est très faible. Le transport est favorisées par la pulsations des artères, puisque que les mêmes gaines enveloppent les vaisseaux sanguins et lymphatiques.

Il y a 3L de lymphe qui entrent dans la circulation toutes les 24 h. On ne saurait trop insitersur l'importance des mouvements des tissus adjacents pour sa propulsions.

Lorsque l'activité physique s'intensifie, l'écoulement de la lymphe accélère considérablement de façon à compenser les fuites de liquides des capillaires sanguins.






Cellules, tissus et organes lymphatique :


Pour comprendre quelque-uns des principaux aspects du rôle du système lymphatique dans la protection et la défense de l'organisme, nous allons d'abord examiner les composantes des organes lymphatique, soit les cellules et le tissu lymphatique.

Cellules lymphatiques :

Les micro organismes infectieux qui réussissent à franchir les barrières de l'organisme (bactéries, virus) se multiplient rapidement. Ces envahisseurs se butent toutefois à la réaction inflammatoire, aux phagocytes et lymphocytes.

Les lymphocytes sont les soldats d'élite du système immunitaire, leur rôle consiste à défendre l'organisme contre les antigènes c'est à dire toutes les particules que l'organisme perçoit comme étrangères, par exemple des bactéries, toxines, virus, globule rouge incompatibles...

Tissus lymphatique :

Ils sont une composante importante du système immunitaire, principalement parce qu'ils abritent les lymphocytes ainsi que leur prolifération, puis ils offrent une position stratégiquement idéale pour surveiller l'organisme. Les macrophages vivent accrochés aux fibres du tissu lymphatique, ils sont en circulation continuelle dans les vaisseaux, les tissus conjonctifs et lymphatique leur permet de se rendre rapidement dans les régions infectées ou lésées.

Nœuds lymphatiques :


Avant de retourner dans la circulation sanguine, la lymphe est filtrée dans les nœuds lymphatiques, ou ganglions, groupés le long des vaisseaux lymphatiques. Bien qu'ils se comptent par centaines, ces nœuds sont généralement invisibles. On les trouve ces groupes dans  l'aine, l’aisselle, le cou et la cavité abdominale. Ils jouent un rôle de filtre qui épurent la lymphe et ils empêchent les particules étrangères d'entrer dans le sang et dans l'organisme. Puis ils contribuent à l'activation du système immunitaire, les lymphocytes occupent une place stratégique surveillant le courant lymphatique pour détecter des antigènes et intervenir.



Organes lymphatiques :

 
Rate:

C'est le plus gros des organes lymphatiques, elle est un site de prolifération des lymphocytes ainsi que de l'élaboration de la réaction immunitaire. Elle a pour fonction de purifier le sang et extrait les globules et les plaquettes détériorées, mais elle en retire à travers ses sinus les débris, les corps étrangers, les virus, les toxines, ... La rate emmagasine 30% des plaquettes du corps humain.

Thymus :

Grâce aux hormones qu'il secrète, le thymus rend les lymphocytes immunocompétents. Il sert strictement à la maturation des lymphocytes. Donc  il est le seul des organes lymphatiques à ne pas combattre directement les antigènes, car il existe une barrière qui empêche ceux-ci d'entrer dans cette région et d'activer prématurément les lymphocytes encore immatures.
Les amydales :

Elles sont les plus simples des organes lymphatiques. Elle forment un anneaux de tissu autour de l'entrée du pharynx. Elles recueillent et détruisent la majeur partie des agents pathogènes qui, portés par l'air ou par les aliments, pénétrant dans le pharynx.Cependant la grandes variété des cellules immunitaires qui sont produites de cette façon garde le "souvenir" des agents pathogènes dit "mémoire immunitaire".

3 - Le sang :



Comme un fleuve impétueux, le sang transporte dans l'organisme presque tout ce qui doit y circuler. Nos ancêtres accordaient au sang des propriétés magiques, en effet a leurs yeux il était le principe vital. Car le sang est la manifestation de l'âme. 



Alors on comprends d'autant mieux les efforts incessant  du corps à le maintenir pur et exsangue d’impuretés. Il agit comme "transporteur" : Il sort du cœur par les artères, qui se ramifient en capillaires. En traversant ces minuscules vaisseaux, l'oxygène et les nutriments se séparent du sang et pénètrent dans le liquide interstitiel ; en sens inverse, le  gaz carbonique et les déchets passent du liquide interstitiel au sang. En quittant les capillaires, le sang pauvre s'engage dans les veines et, se dirige vers le cœur. Puis dans les poumon, où il s'approvisionne en oxygène, puis retourne dans le cœur et ensuite dans tout l'organisme.



Composition et fonction du sang :

Le sang est unique car il est le seul tissu liquide de l'organisme. Bien qu'il semble épais et homogène, il contient des éléments liquides  et solides. Si on centrifuge un échantillon on obtient la séparation des différents éléments qui le compose, comme l'image ci-contre.

Chez l'adulte le sang représente environ 8% de la masse corporelle, 5 à 6 litres chez l'homme et 4à 5 litres chez la femme.







Fonction :

Il assure de nombreuse fonctions qui sont toutes liées de près ou de loin au transport de substances, à la régulation du milieu interne et à la protection de l'organisme. Toutes ses fonctions interagissent de manière à maintenir l'homéostasie.


Transport :

- Apport à toutes les cellules d'oxygène et de nutriments provenant des poumons et du système digestif.
- Transport des déchets du métabolisme cellulaire vers les sites d'élimination.
- Transport des hormones des glandes endocrines vers leurs organes cibles.

Régulation :

- Maintien d'une température corporelle approprié
- Maintien du PH. Il est une réserve de nature alcaline.
- Maintien  d'un volume adéquat de liquide dans le système circulatoire, afin d'assurer l'irrigation de toutes les parties d l'organisme.


Protection :

- Prévention des hémorragies. Lorsque l'un d'entre eux se rompt, les plaquettes forment un caillot et arrête l'écoulement.
- Prévention de l'infection. Le sang transporte des anti-corps, qui défendant l'organisme contre des corps étrangers tels que des bactéries virus ou cellules cancéreuses.




2 - L'homéostasie :








J'ai choisi, afin d'illustrer ce post, les œuvres de Michael Grab, qui réalise des équilibres exclusivement réalisé avec des pierres.

"L’élément le plus fondamental de l’équilibre dans un sens physique est de trouver une sorte de "trépied" pour la roche afin qu’elle se tienne debout" Michael Grab

Le trépied dont il parle, au niveau du corps humain, est le respect des impératifs du corps, c'est à dire avoir un régime physiologique, des activités physiques adaptées pour permettre l'homéostasie et l'équilibre dont  parle les œuvres de Michael Garb.  

"Je me réfère à la méditation, ou comment trouver un point de silence en vous. Certaines tentatives d’équilibres peuvent en effet appliquer une pression importante sur votre esprit et votre patience. Le défi est de surmonter patiemment tout doute qui pourrait surgir " Michael Grab

Et les pratiques spirituels, méditation et expansion de conscience, peuvent exprimer tout leurs potentiels une fois l'homéostasie atteint.










Le corps humain est constitué de millions de cellules presque toujours en activité et le fait qu'ils s'y produise si peu de problème de fonctionnement ne peut que nous émerveiller. Au début du XXéme siècle, un physiologiste américain W.Cannon parlait de la "sagesse du corps" : Il a créé le mot homéostasie pour décrire sa capacité de maintenir une stabilité relative du milieu interne malgré les fluctuations constances de l'environnement, il s'agit d'un état d'équilibre dynamique dans lequel les conditions internes varient, mais toujours dans des limites relativement étroites.

En général, on considère que l'homéostasie se maintient quand les besoins de l'organisme sont satisfaits et qu'il fonctionnement bien. Mais son maintient est un processus complexe. En effet, presque tout les systèmes contribuent à maintenir un milieu interne stable. Non seulement l'organisme doit maintenir à tout moment une concentration adéquate de nutriments dans le sang, mais il doit également surveiller et ajuster sans arrêt l'activité cardiaque et la pression artérielle afin que le sang puisse être acheminé à tous les tissus. Et il doit éviter l'accumulation des déchets et assurer une régulation précise de la température corporelle. Une large gamme de processus chimiques, thermiques et neurologiques agissent et interagissent de façon complexe dans l'organisme, certains ayant tendance à le rapprocher, d'autres à l'éloigner de son objectif ultime qui est l’homéostasie.



Mécanisme de régulation de l’homéostasie :

La communication entre les différents parties de l’organisme est essentielle au maintient de l'homéostasie. Le système nerveux et le système endocrinien assurent la majorité de la communications, respectivement au moyen d'influx nerveux transmis par les nerfs et d'hormones transportée par le sang. Quel que soit le facteur contrôlé, tous les mécanismes de régulation comportent au moins 3 éléments interdépendants :

Un récepteur : Capteur dont le rôle consiste à surveiller l'environnement et à réagir au changements, ou stimulus, en envoyant des infos au second élément.

Le centre de régulation : Fixe la valeur de référence où la variable doit être maintenue, analyse des données qu'il reçoit et détermine la réaction appropriée.

L'effecteur : Grâce auquel le centre de régulation produit une réponse au stimulus. La réponse produit alors une rétroaction qui agit sur le stimulus. Elle peut avoir un effet de le réduire (rétro-inhibition) de sorte que tout le mécanisme de régulation cesse son activité, ou elle peut le renforcer (rétroaction) de sorte que la réaction se poursuit avec une intensité croissante.



Mécanisme de rétro-inhibition :

La majorité des mécanismes de régulation de l'homéostasie sont des mécanismes  de rétro-inhibition, c'est à dire des systèmes qui, par leur réponse, mettent fin au stimulus de départ ou réduisent son intensité. La valeur de la variable change donc dans une direction opposée au changement initial et revient à une valeur "idéale", d’où le terme "rétro-inhibition".

Exemple : un appareil de chauffage relié à un thermostat. Celui-ci contient à la fois le récepteur et le centre de régulation. Si le thermostat est réglé à 20°, il met l'appareil de chauffage (l'effecteur) en marche dés que la température de la pièce descend sous cette valeur. l'appareil réchauffe alors l'air ambiant ; lorsque la température atteint 20°C ou un peu plus, le thermostat coupe l'appareil. Le cycle "marche" et "arrêt" ainsi créé permet de conserver dans la maison une température assez proche de la valeur désirée, soit 20°C.

Le "thermostat" de votre corps, situé dans une partie de l'encéphale appelé hypothalamus, fonctionne à peu près selon le même principe.

Pour poursuivre leurs activités métaboliques normales, les cellules doivent disposer d'un apport continu de glucose, le principal carburant qui leur permet de produire l'énergie cellulaire. Normalement, la concentration de glucose dans le sang se maintient. Par exemple, lorsqu'il y a une absorption trop grande de sucre cela entraîne une augmentation de la glycémie, d'où une rupture de l'équilibre homéostasique. Celle-ci stimule les cellules productrices d'insuline, qui libèrent alors cette dernière dans le sang. Elle accélère l'absorption de l’excès de glucose, par la plupart des cellules et favorise son stockage dans le foie et les muscles ; Le corps met ainsi le glucose en réserve. La glycémie revient donc à la normal et le stimulus diminue également.

À l'inverse si le corps manque se retrouve en hypoglycémie, le foie relâche le glucose qu'il à préalablement stocké, et la glycémie  remonte de façon à ce que l'équilibre homéostasique soit atteint.

La capacité de l'organisme de réguler son milieu interne revêt une importance capitale, et tous les mécanismes de rétro-inhibition contribuent par leu action à éviter les changements soudains et importants au sein de l'organisme.



Mécanisme de rétroaction :

On dit "rétroactivation" parce que le changement produit va dans le sens de la fluctuation initiale. Ils régissent des phénomènes peu fréquents. Ils déclenchent une série d'événements pouvant s'auto-entretenir et avoir un caractère explosif : "en cascade".

Prenons un exemple, la coagulation du sang:

1- Rupture ou déchirure de la paroi d'un vaisseau sanguin.
2- Coagulation, les plaquettes s'agglutinent sur le site de   
la lésion et libèrent des substances chimiques.
       3- Les substances chimique libérées attirent d'autre plaquettes.
4- La coagulation se poursuit jusqu'à ce que le caillot        
nouvellement formé colmate la fuite.

La coagulation sanguine est une réaction normales lorsque le revêtement d'un vaisseau sanguin est déchiré ou endommagé, et c'est un exemple excellent de régulation d'une fonction importante organique par rétroactivation.



Déséquilibre homéostatique :

L'importance de l'homéostasie est tel qu'on considère que la plupart des maladies sont causées par un déséquilibre homéostatique. On trouve de nombreux exemples de ces déséquilibres dans certaines situations pathologiques, lorsque les mécanismes normaux de rétro-inhibition ne sont plus en mesure de jouer leur rôle et que ce sont les mécanismes destructeurs de rétroactivation qui deviennent prédominants.

http://www.gravityglue.com/

1 - Le fonctionnement de l'organisme et ses déchets :


Ce post est le premier d'une série, consistant à condenser les bases de la physiologie humaine, afin que vous compreniez mieux, le fonctionnement de votre corps et comment remédier à certaines maladies parfois chroniques.
Pour pouvoir évoluer spirituellement il est indispensable de détoxiner le corps de ce qui l'encombre, pour installer une santé durable et source de bien être tant physique que psychologique.





http://www.aryanalibris.com/index.php?post/2011/11/30/Marieb-Elaine-N-Anatomie-et-physiologie-humaine
cliquer pour consulter
 Outre l'importance de la qualité des aliments et de l'air que nous ingérons, et l'activité musculaire, l'accumulation des déchets est en grande partie responsable de la nature profondes de toutes nos maladies et le drainage des toxines est donc un point essentiel à prendre en compte pour conserver une bonne santé longtemps ou la retrouver rapidement.


L'action d'une thérapeutique visant au drainage des toxines, permet un travail en profondeur de l'organisme. Une philosophie qui préfère agir sur la cause que sur les symptômes pour obtenir des résultats durables.



Fonctionnement physiologique de l'organisme :


Nous pouvons comparer à un transformateur énergétique à travers lequel circulent différentes sortes d'énergies externes, qui fonctionne en 3 étapes :
    
Réception :  des énergies externes ( aliments, air, soleil ... )
Par voies Digestives, Par voie respiratoire, Par voie cutanée.
Transformation : des énergies de façon à les rendre utilisable.
Digestion, Les métabolismes
Dépense : des énergies transformées et élimination des déchets.
Les 5 émonctoires, ils permettent à l'organisme  d'éliminer ses déchets.  PDF

Chaque fois qu'un émonctoire ne travaille pas assez, des toxines s'accumulent dans  l'organisme et empêchent celui-ci de travailler correctement.




Pour que notre organisme fonctionne correctement :

- Que l'apport énergétique soit adapté à ses capacités de transformation. 
- Que cette transformation se passe correctement.
- Que ses énergies transformées soient toutes dépensées ou éliminées.

Sinon les énergies ne circulant pas convenablement, provoquent une accumulation de déchets dans notre organisme. Tant que la quantités de déchets produits quotidiennement reste dans les limites de la capacité d'élimination de l'organisme, la circulation des énergies peut se faire correctement mais dés que la production de déchets dépasse la capacité d'élimination, Il s'ensuit une accumulation de toxines dans l'organisme, avec comme conséquences, un fonctionnement organique perturbé. 



Les déchets de l'organisme : 

Presque tous les déchets viennent de l'extérieur du corps et pénètre dans l'organisme.

Par les voies digestives :
Suralimentation, Alimentation inadaptée, Fermentation et putréfactions intestinales, Café, alcool, limonades, sucreries, Excès de sel, Additifs alimentaires, Eau du robinet, Pollution des aliments par les insecticides, herbicides, engrais chimique ..., Les vaccins.
Par les voies respiratoires :
Pollution de l'air, fumée d'usine, gaz d’échappement ... L'air dévitalisé dans un espace mal aéré ou lieux publics très fréquenté, Tabac
Par les voies cutanées :
Produits cosmétiques, maquillages, crèmes de toutes sortes, gel douche, déodorant, etc ...


La source interne de production des déchets est provoquée par l'usure organique (débris de cellule, cadavres de globules rouges, déchets de protéines, des minéraux usée, ...)


Les cristaux :


Ces déchets durs et blessants, sont solubles dans les liquides et évacués par les reins et les glandes sudoripares qui, avec l'urine et la sueur offrent un abondant support de dissolution. Les cristaux sont des résidus provenant de la digestion et de l'utilisation d'aliments riches en protéines (viande, poisson, œufs, produits laitiers, légumineuses et céréales), d'un excès d'aliments acides ou de mauvais glucides (sucres raffiné ...).

Lorsqu'il s'accumulent, ils causent des maladies généralement douloureuses et qui ne coulent pas comme les rhumatismes aigus et chroniques, les sciatiques, les calculs, l'eczéma sec, ...

La thérapeutique à appliquer sera la suivante :
- Correction du régime alimentaire.
- Stimulation des éliminations au niveau des reins et des glandes sudoripares.
- Consommation généreuse de liquide.




Les colles :

Ces déchets sont des matières visqueuses non solubles dans les liquides et s'élimine par le foie, les intestins et les glandes sébacées (la peau) la bile, les selles et le sébum sont donc des supports à l'élimination des celle-ci. Si les émonctoires n'éliminent pas suffisament, ce sont les voies respiratoires et l'utérus qui prendront le relais. Elles proviennent d'une alimentation trop riche en glucides (céréales, pains, pâtes, ...) et lipides (graisses).

Les maladies de colles ne sont en général pas douloureuses, par contre elles coulent. Exemple : La catarrhes des voies respiratoires,  tels que l'asthme, bronchites, sinusites, exémas coulants, acné..


La thérapeutique à appliquer sera la suivante :
- Correction du régime alimentaire.
- Drainer les colles excédentaires par les émonctoires adéquats.
- Assécher l'organisme. Les colles sont non solubles, ont tendance à s'accumuler dans la lymphe. Et en  buvant peu pendant quelque jour, cela va obliger l'organisme à puiser du liquide dans la lymphe pour maintenir le volume sanguin normal, de ce    fait les colles transportées par la lymphe pénètrent plus abondamment dans le courant sanguins que normalement.


À la base le travail spécifique de chaque émonctoire est soit d'éliminer les cristaux soit les colles. Mais à la longue, avec la fatigue, la saturation et l'usure du filtres, les émonctoires perdent de leur spécificité et finalement les colles et les cristaux sont éliminés par n'importe lequel des émonctoires c'est la mixité émonctorielle.


Déterminer le type de déchets à drainer et les émonctoires à faire travailler :

- Caractéristique des troubles présents (colles ou cristaux?)
- Caractéristique des maladies antérieures.
- Analyse du régime alimentaire.
- Faiblesses organique connues: Faiblesse rénales = problèmes de cristaux
                                                Faiblesse hépatique = Problèmes de colles





Les toxines :


Elles sont dites circulantes lorsqu'elles sont localisées dans des régions du corps où la circulation des énergies se fait à un rythme rapide. Elles sont situées dans un endroits facile à drainer.

Elles sont dites non-circulante car elles sont stockés dans la lymphe, elles sont difficiles à éliminer, car elles doivent quitter le milieux cellulaires, passer dans les courants lents du sérum extra cellulaire jusqu'au capillaire sanguin. Plus les émonctoires et le sang sont libres de toxines, plus il est facile aux toxines profonde de remonter.



Les crises curatives ou maladies :

Il faut savoir !

- L'organisme animé par le Qi, cherche toujours à se débarrasser des substances qui lui sont nuisibles, en les expulsant par les émonctoires.
- Que les déchets non éliminés sont poussés dans les profondeurs tissulaires, car il est impératif pour la vie de l'organisme que le sang reste pur.

Cette auto-intoxication est provisoire et le Qi attend la première occasion pour faire remonter des toxines à la surface.


Le drainage adapté à chaque situation permet d'imiter les efforts curatifs du Qi, de maintenir la santé, de prévenir de différentes maladies voire participer activement à sa guérison. Il vaut mieux prévenir que guérir ...