Le kéfir - boisson pleine de vie

 

Kéfir de fruit par Marylène

 J'ai du plus loin que je me souvienne, eu des problèmes de digestion, et donc un caractère parfois instable, du mal à me concentrer. Hyperactive et émotive, et donc instable.  Il y a quelques années, j'ai fait beaucoup de recherches pour en finir avec tous ces troubles. J'ai appris que dans le ventre, se trouve notre deuxième cerveau, avec environ 200 millions de neurones présents dans l'intestin. "Le système nerveux entérique comprend des millions de neurones disposés le long du tube digestif. Il sert à commander les contractions de l’intestin. Le nerf vague assure la communication entre le cerveau et ce système nerveux parfois qualifié de « second cerveau »." réf 

 Dans cet article, je ne parlerais pratiquement que du kéfir de fruit, mais il existe aussi du kéfir de lait.

Le microbiote aussi est primordial à la bonne santé du corps humain, ainsi le kéfir est un probiotique. Il apporte une nouvelle population de levure et de bactérie, favorisant l'équilibre dans la digestion, en favorisant l'assimilation et l'élimination des déchets.

 

 

 

 

J'ai choisi les vidéos de Thierry Casanovas, car il explique très bien, je ne suis absolument pas d'accord avec tout ce qu'il a dit ou fait. Pour ces vidéos sur la physiologie humaine, ce sont les meilleurs à mon sens sur Youtube.

Je me suis fait une bonne cure de kefir, un bienfait que je vous recommande. 

kéfir de fruit

Le mot kéfir vient d'une langue du Caucase, où on le boit depuis au moins la haute antiquité. En Europe il est consommé régulièrement en Russie où une importante littérature scientifique lui est consacrée (il est également distribué aux patients des hôpitaux comme complément de santé), en Pologne, en Serbie, en Slovénie et en Bulgarie comme boisson traditionnelle.  source Wikipédia.

 

Kefir de lait ©Angela Aladro mella. shutterstock

 

je vous conseille ce site : c fait maison

kefir de fruit

 

Pour en trouver la tradition veut qu'il soit donné, donc regardez sur le bon coin par exemple, j'ai trouvé le mien ainsi.

Écoute de la musique

Au moment, où tout est sens dessus dessous … où je perds pied, je me sens perdu comme enfermé en moi, quelle sensation horrible … trop étriqué ce monde ! Trop morne, trop gris et sans vie …

Je prends mon téléphone et lance de la musique … assise le regard perdu vers l’horizon de foret d’hiver, accompagné d’un bon petit expresso fumant, le meilleur café que j’ai pu trouver. Un moment rien qu’à moi, que nul ne perçoit à l’abri dans mon univers. Un temps rien que pour moi !

La musique commence et déjà les premières notes me font vibrer. Mon imagination commence à se manifester danse à chaque note, le rythme commence à me saisir et me nourrit, m‘exalte. En partance pour d’autres contrées…


 

 

 

 J’entre dans mon monde si précieux, si joyeux, si lumineux. Je danse saute et chante, telle une ballerine portée par la magie des notes. Ma jambe se lève et bourdonne. Mes bras accueillant créent de l’or en s’agitant, de mon aura se dégagent de multiples couleurs se déposant partout ou elle semble nécessaire. Je frappe des mains, des formes en sortent, faite de lumière et de couleur vibrante et magnifique. Mon pied frappe le sol et me décoince.

La musique est impalpable, éphémère et d’une puissance inimaginable. Un mystère que l’on croit acquis … alors qu’un nombre incalculable de vies seraient nécessaires pour en devenir le digne apprenti.  Une puissance que peu peuvent même concevoir.

L’imagination, une porte vers nos Dieux, m’avait-on dit un jour … je ne le comprends que maintenant. Moi qui rangeait mon imagination, comme secondaire jugée à l’emporte-pièce par tous ses éducateurs arriérés et pompeux. L’imagination une porte doré, ornée de merveilles, une alliée primordiale. J’arrive à vivre quand je lui laisse la place, tout simplement. Je ferme les yeux et elle prend place, un moment d’ennui apparent, et elle se déploie à plein, attendant la moindre opportunité de se libérer, au moindre interstice pour se diffuser puis se renforcer.

Histoire de nature d’être - s’accepter !

Le regard  impitoyable, la mine dure nous nous regardons. Peur mal gérée, douleurs mal guéries. Un reflet de toutes nos incertitudes …  ce regard si blessant ... c’est celui que l’on se porte. Toujours méchant, ce geôlier jamais satisfait ! Qu’il m’exaspère ce monstre, qui m’inflige tant de méchanceté, chaque jour renouvelé ! Je le déteste ce monstre ! Pourtant il est là, il se bat avec les dernières forces d’un condamné, afin de garder sa place nauséabonde. Insultes, remarques ... tentant de tuer dans l’œuf toute velléité de liberté !

Un lac si sombre et profond que nul n’en trouverait jamais le fond. Une angoisse de ne pas savoir ! Quelque chose, qui peut nous attraper par le pied, et nous tirer. La peur au ventre, de ne pas pouvoir y voir de fond ... Qu’y a-t-il dont de si ... angoissant,  de si obscur… ? Mon ventre se serre ... Petite déjà, lorsque j’étais assise sur mon lit, je ne posais pas les pieds au sol de peur qu’une main monstrueuse m’attrape pour m’emporter … je la vois si bien cette main … un enfant ne devrait jamais voir ça.

Un lac en hiver , une envolée de canard, une brume légère, pourtant un si beau spectacle... Rester à sa surface, mais ne pas y plonger … contempler la beauté… mais  sans y sombrer. Un léger parfum de feuille morte, j’aime cette odeur.

S’accepter… c’est accepter le beau comme le mauvais en soi ? La lumière comme l’obscurité ? Ce lac magnifique et ses profondeurs angoissantes. C’est ça moi ? Moi et mes peines, moi et mes douleurs qui teintent ce lac d’un noir de Jais, heureusement réchauffé par les rayons de mon soleil adoré. Pourtant, ses abords sont si plaisant, et riche, peuplé d’espèces sauvages et mystiques, nourrissent de couleur de la terre, enrichie des sons des éléments.

Si longtemps couper de notre monde, une séparation si longue … que l’on se demande si chacun se souviendra l’un de l’autre. J’espère que des liens plus forts que l’infamie subsistera à jamais,  car tissé d’or et d’amour vrai,  Je rêve …

Si tu pouvais te voir,   te voir comme je te vois …. Ta peur s’évanouirait.
Ta nature est contrainte dans ce monde … alors, ouvres-toi s'en à d’autres !

Toi, malgré tes blessures, tu vis … toi, malgré tes handicaps, tu rampes même pour vivre ! Accroche-toi encore un peu, s’il te plaît ne lâche pas prise maintenant.