Revenir au moment où tout a basculé : le comment du pourquoi ?
Le surmoi a été créé par l’enfant au moment de ses plus grands traumas. Parfois, une chose semblant, en apparence parfois, anodine a été vécue par l’enfant comme un viol. Tout ce qui peut mettre en péril son choix d’incarnation : est un viol. Un nourrisson qui ne peut pas vivre avec douceur et tendresse son éveil, est un trauma si grand, qu’il crée une armure pour ne plus jamais vivre une telle humiliation.
Voilà pourquoi, depuis le temps immémoriaux l’enfant est sacré. Car il est la graine des futurs. Tous les espoirs reposent sur ces doux petits mignons.
On dit de façon communément admise, que la vérité sort de la bouche des enfants. Voilà pourquoi le traite Cosmique les a exsanguiné de vie en vie. Alors surmoi sur surmoi, armure sur armure, les êtres tentent de vivre. Et souvent de façon incompréhensible pour les autres.
Un enfant, d’un monde, qui n’a jamais eu sa place. Comment alors redevenir un enfant sécure ?
Un enfant est bien plus intelligent que ce monde ne veut bien l’accepter. L’énergie sexuelle est l’énergie de vie. Voilà pourquoi l’enfant est sexualisé dans nos sociétés.
Mais un adulte en possession de tous ces moyens est un monstre, si il projette sa propre sexualité sur un enfant innocent. Qui ne peut se défendre et retourner cette ignominie contre leur ordonnateur. Comme si l’enfant n’avait pas de conscience. Cet infâme traîtrise inlassablement répétée, a profondément marqué les êtres. C’est pourquoi, notre sexualité est malade. Rebondissant toujours sur les mêmes traumas, sans jamais en être libéré.
L’innocence violée encore, et encore par la stupidité de l’humanité malade. Nos enfants intérieur sont la clé de notre avenir. Je sais bien que ce sujet est tabou dans notre société. Se moquer d’un enfant qui parle, entérine les injustices, détruit tout, tout simplement.
Comprendre qu’un enfant veut le bonheur de ses parents : malgré qu’ils soient malade, l’enfant aime simplement. Construisent ce surmoi, afin de répondre aux demandes de leurs parents, pour ne pas les blesser. Cette curiosité est incomprise. Il ne veut pas être sexualisé: il veut comprendre la sexualité pour pouvoir se construire. Être parent revêt des responsabilités difficile à porter, car chaque chose enseignée à des conséquences. Enseigner, le malsain encourage la répétition du malsain. Et ça de génération en génération. C’est en partie pour ça que notre monde est aussi malade.
Un être qui n’accepte pas son corps, n’est pas en mesure d’avoir une sexualité saine et élévatrice : car construite, d’amour vrai. Un enfant traumatisé ne connais pas le bonheur. Car ses fondations sont malsaines et vouées à l’ écroulement. Alors vous comprenez bien que l’avenir est compromis dans ces conditions.
Sans jugement juste des traumas, l’être reste l’enfant traumatisé. Reproduisant, même contre sa volonté, le traitement qu’il a subit, car il ne connaît que ça. L’innocence bafouée, traînée dans la boue, maculée d’immondices. Les gens sont malades de leur propre silence de leurs propres incapacitée, impuissance même, à surmonter l’injustice. Et donc se culpabilisent.
La mémoire est un organe complexe scindée, compartimentée, falsifiée parfois pour que l’enfant évolue grâce à son protecteur : le surmoi. Voguant toute sa vie, entre les barrières qu’il a érigé. Car il n’est pas en mesure d’y faire face seul. Là, le surmoi devient un compagnon toxique : car il met tout en œuvre pour éviter de voir ce qu’il a subit. Victime à jamais, de ses poisons qui le hantent.
Affubler de dysfonctionnements hérités, enfermant un peu plus l’être chaque jour. Un parent ne voulant pas faire face à ses pires traumas : n’est pas en mesure d’élever un enfant sainement. Transmettant à leur tour, les pires choses qu’ils portent comme une dette impayée. Le poids des lignées peut alors se comprendre. Les secrets de famille qu’il ne faut divulguée sous peine d’hégémonie. Jusqu’à jalousé la liberté de certains, qui veulent s’alléger de ce poids inique.
Ce relever de ça est un exploit. Qui se doit d’être célébré par de grandes fêtes joyeuses et libératrice pour tout le monde. Il devient alors porteur sain. Il sauve l’enfant qu’il aurait toujours dû être encourageant l’adulte qu’il est à grandir et à reprendre sa place légitime.
