J’ai commencé à écrire parce que j’en avais besoin. J’avais besoin de sortir de mes gesticulations mentales, car parler sans réfléchir, n’apporte que fatigue et désillusion. Une sorte de journal intime élévateur pour moi. J’ai essayé depuis 10 ans, de transcender mes faiblesses multiples et variées.
Beaucoup étaient contre, mais pour moi, le chemin vers le grand mystère est personnel. Livré la pureté des sentiments, est une quête d’une vie. Redevenir l’enfant chéri du Père: enfin, ce que ça veut dire pour moi.
Le Monde d’avant était riche, car les êtres qui le composaient, étaient passionnant. Faisant la fierté de notre Père. Rien n’est moins simple que d’être simple. Enseigner est d’une complexité qu’il faut avoir une structure solide et profondément bienveillante.
Je ne dis pas qu’il faut tout accepter, au contraire. On apprend de tout, et de tous, tout le temps. Apportant son lot de remise en question de conflit, qui part, c’est choc salvateur, apporte maintes richesses.
Ils auront beau chercher L’or dans toutes les veines de la terre, sans jamais comprendre ce qu’il est. L’Or est la connaissance : L’être qui s’émerveille, le rire d’un enfant heureux, les yeux des êtres amoureux. Ils ne l’auront jamais quoi qu’il fasse de pire ! jamais ! Car protégé par le plus grand être de l’univers.
La caverne aux trésors, dont nul ne peut salir son contenu. De plus, savamment garder par des êtres incorruptibles. Jamais ils ne pourront même les entrevoir.
Un monde sans poésie est un monde mort.
Je ne dis pas que tout ce que je dit est La vérité: c’est juste ma vérité.
Si chacun pouvait exprimer ce qu’il le meut, le monde s’enrichirait constamment de vos expériences, de vos être unique. Qui enseignerons plus tard, à d’autres plus jeunes qui ont tout apprendre. Un cercle vertueux éternellement, répété et élevé.
Je cherche à calmer les conflits. Qu’il soit intérieur ou à l’échelle planétaire. Car ceux-ci fige les êtres. Empêche la vie elle-même de s’exprimer.
Il n’est plus lieu de se taire dans cette Omerta millénaire. Ou seul un cerveau reconnu par un nom lui-même assis bien confortablement sur sa réputation. Une âme né D’Enki est riche d’ascendance. Après ce que les être en font est un tout autre problème.
Je suis fière d’écrire, de photographier de dessiner : exercer ma richesse à l’épreuve de mes lecteurs.
Exercer, malgré les qu’en-dira-t-on. Créer malgré la fermeture d’esprit de ce monde. Un artiste à tout autant sa place qu’un mathématicien.
Je ne suis pas exsangue de défaut et d’imperfections, et c’est sur cela que l’on attaque les artistes. Car ils cherchent la liberté. Au grand dam des idées reçues, des vérités assénées, un grand coup de marteau.
C’est comme ça ! Non, je refuse de me taire, car c’est à mon sens comme ça que le monde peut changer.
Exprimer la grandeur d’un être tel qu’Enki est une quête jonchée de piège, à l’épreuve des mensonges millénaires.
J’ai beaucoup entendu parler des annales Akashique. Mais je vois ça différemment maintenant, voyant une sorte de bibliothèque gigantesque accessible, autant que tu puisses le comprendre. Jamais il n’y aura de fin à la connaissance, car c’est l’infini des grands mystères, l’occulte occulté par le Bienveillant. Pour ne pas être consumé comme Icare : par son manque de connaissance des vols et fini par en mourir, ramené avec violence à son état de conscience.
Percer les mystères, de porte en porte : Ce succédant à l’infini. Traversant le monde des rêves et des aspirations. Planant sur tous les traumas des mondes. Toutes les injustices qui n’ont jamais été jugées, entraînant des schémas répétitifs à l’échelle Mondiale.
Mais si il n’y avait que les traumas, ce monde serait mort, ainsi que tous les êtres qui le composent. Finir par voir le mal aveuglant, puis la beauté exquise abîmée qui, malgré tout, vit encore.
Et finir par acquérir, la conviction que L’Humanité n’est qu'à ses balbutiements. Je ne veux pas réduire mes compatriotes à la somme des traumas qu’ils ont vécus. Je veux juste leur dire que ce n’est que le début.
Un monde où nos cerveaux n’auront plus besoin de machine pour se souvenir. Pas qu’elles n’existeront plus, non, qu’elles redeviennent des outils de facilitation de nos vies complexes. Permettant de gagner du temps et de ne plus le perdre en des choses vaine.
Je ne dis pas non plus qu’il faut tout détruire, non, je dis plutôt qu’avec ce qui est, construire un monde meilleur. Et je ne parle bien sûre que d’être qui sont profondément nourris de leur valeurs intrinsèque. Enki comme grand ordonnateur, organisateur, afin que chaque vérité, puisse prendre sa place. Nous avons déjà toute la matière dont nous avons besoin, maintenant élever le niveau de nos consciences est à mon sens la prochaine étape. Plus besoin alors de Messie où d’intermédiaire, car en connexion direct avec le grand mystère : qui révèle à qui de droit, les clés qui lui permettront d’avancer dans sa quête.
Les faux prophètes nourrit de leurs traumas et de leurs peurs, seront de très mauvais guides. Car nous ne nous comprenons même pas nous-mêmes. Je ne suis pas d’accord avec ce que tu dis n’est pas une hérésie : C’est juste l’expression de nos vérités. Les rassemblements attendant qu’un seul être malade, les guides vers le grand mystère, est une pure illusion et même perdition : et finalement, pensée unique. Tenter de réduire la vie est pour moi un sacrilège. Car fermer les portes consciemment, pour ne pas que les êtres puissent se libérer et la plus grande des traîtrises possible.
J’encourage les êtres à créer pour comprendre le monde, apporter une vision juste à un moment charnière, afin d’ aider ses frères et ses sœurs à évoluer.
Les dieux et déesses malheureusement ont été traité d’une façon ignoble, car ils ne sont pas Enki. La blessure millénaire de l’humanité, d’avoir été arrachée de leur Éden, voile la vérité. Ils essaient de tout leur être depuis des millénaires, afin de nous aider à comprendre et d’avancer. Finalement, anonyme, car nous ne sommes plus en mesure de les voir ou de les entendre. L’injustice constante de ces êtres, qui veulent revoir leur père foulé de son pied sacré ce monde.
Salir, cette intention naïve est un acte innommable pour moi. Les enfants divin qui ont tout fait tout tenté pour monter les consciences à un niveau où elles pourront juste voir le gigantesque de l’univers. À partir de là, la hiérarchie prend tout son sens, et peut se comprendre réellement puis profondément.
Sans cette pression énergétique des êtres plus fort que soi, comme des grands frères, comme des grandes sœurs. Accueillant avec enthousiasme ses nouveaux arrivants, c’est cher petite tête de toutes les couleurs.
Sans cette hiérarchie divine l’être est perdu, comme abandonné , livré à toutes les bassesse, que comptes cet univers.
Tu me reconnais, je te reconnais.
